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La Transléonarde au travers des beautés du Nord


Publié le jeudi 21 juin 2007 à 09h57min

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Marathon, trail, randos, épreuve handisport : les participants traversent des sites superbes, dans le nord du département, dimanche.




Toute l’année, aux six coins de l’Hexagone, les organisateurs de la Transléonarde courent après... les coureurs. « Sur un marathon, le taux de renouvellement est de 80 %, indique Roger Torchen, président du comité d’organisation. Nous sommes en perpétuel remplacement de coureurs ». Avec un avantage : les Finistériens, « représentés dans toutes les courses nationales », courent beaucoup. Mais il y a aussi une difficulté : « Dans le Finistère, les gens ne passent pas, ils viennent ».

Pour fidéliser les autochtones et séduire les visiteurs, la Transléonarde a plus d’un argument dans son sac. Elle peut se vanter d’un circuit côtier superbe, menant du château de Kerjean à Guissény. En passant par le village de pêcheurs de Meneham. Tout au long du parcours, des groupes folkloriques accompagnent les coureurs. « Après le 30 ème kilomètre, le soutien est important pour un marathonien... »

Sur tapis rouge

Cette année, 500 coureurs de trente départements sont attendus au marathon. Ils viennent avant tout pour la convivialité. Beaucoup d’entre eux ont commencé la course à pied à la fin de leur carrière de footballeur ou de cycliste. Roger Torchen lui-même a débuté la course à 37 ou 38 ans, après ses activités d’avant-centre à Ploudaniel.

Il s’est mis à la longue distance à l’âge de 50 ans. Il a participé à de grandes courses à Ploudalmézeau, Paris, New York, dans le Médoc ou le Lubéron. A-t-il couru la Transléonarde ? Difficile, en tant qu’organisateur. Ce n’est pas le cas de Paul Le Guen, l’entraîneur du PSG, qui a couru les 42,195 kilomètres qui mènent du château de Kerjean à Guissény.

Des effets positifs

Dans une récente revue, Roger Torchen cite avec délectation, le coach breton qui classe la Transléonarde parmi ses parcours favoris. Il la qualifie même de « plus bel endroit du monde ». Paul Le Guen est l’un des anciens parrains (tous sportifs et bretons) de l’épreuve. Célèbre ou anonyme, « toute personne devrait faire une activité physique, bénéfique si petite soit-elle, encourage Roger Torchen. Pourquoi ne pas tenter le marathon et affronter la distance ». Car les effets sont positifs pour le corps comme pour l’esprit. « Les 195 derniers mètres de la Transléonarde se font sur un tapis rouge. Les coureurs ont la chair de poule ». Des frissons que procureront aussi les randonnées, trail, épreuve handisport et courses pour enfants, proposés ce week-end.

Pour de plus amples informations sur cette course, consulter la rubrique "Agenda"


Voir en ligne : Ouest France

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