Marathon de Nouadhibou

Le marathon International de Nouadhibou est une organisation sociale et humanitaire à but non lucratif pour le développement de la pratique sportive comme le footing, la marche, le jogging et les courses de marathon 42km, 21km, 10km pour les vétérans et (5km pour les adolescents).

Les 4000 premiers athlètes (femmes et hommes) à adresser un courriel à l’organisation seront inscrits gratuitement sur les parcours de 42 km, 21 km et 10 km pour les vétérans.

Il suffit tout simplement d’envoyer un mail à contacts@ndbmarathon.org

En plus de propager la pratique du sport nous agissons dans les domaines suivants :

• Développer la pratique sportive depuis l’école, les collèges et lycées pour créer un esprit et un corps sportifs depuis le jeune âge
• Utiliser la pratique du sport comme moyen de prévenir les maladies dues à la sédentarisation (diabète, tension artérielle et autres)
• Développer la pratique sportive chez les handicapés sur fauteuil roulant
• Aider les malades du diabète en leur fournissant des médicaments et en les poussant à marcher
• Lutter contre toute forme de discrimination, lutter contre l’intégrisme religieux, lutter contre la consommation de la drogue

En plus de ces 5 points déjà cités, notre marathon est l’un des rares à donner gratuitement les tee-shirts pour tous les coureurs et assure une inscription gratuite.

Géographie
Nouadhibou est la capitale économique de la Mauritanie. La plupart des sources estiment sa population à plus de 100000 habitants, voire 150000. La commune proprement dite en comptait 72337 lors du recensement de 2000.

Histoire
Par un arrêté du 15 août 1907, le gouverneur général de l’Afrique-Occidentale française (AOF), Ernest Roume, nomme le port « Port Étienne » en l’honneur de l’ancien ministre des Colonies, Eugène Étienne.

Nouadhibou était une escale de l’Aéropostale de Latécoère, du temps des pionniers de l’aéronautique, entre les deux guerres mondiales. Jean Mermoz et Antoine de Saint-Exupéry s’y relâchèrent souvent. C’est ici que Saint-Exupéry rédigea Terre des Hommes.

Depuis le début de l’année 2006, Nouadhibou est devenue un point de départ d’émigrants africains tentant de rejoindre les îles Canaries. Cette voie extrêmement dangereuse pour accéder à l’Europe est devenue populaire en raison du renforcement, mi-2005, des contrôles d’émigration le long de la côte marocaine et autour des enclaves espagnoles de Ceuta et Melilla.

Économie
C’est grâce au port de Point Central, à quelques kilomètres de Nouadhibou et de sa cité minière de Cansado, qu’est acheminé le minerai de fer de la mine de Zouerate, dont la gestion est assurée par la Société nationale industrielle et minière (SNIM), par l’un des plus grands trains du monde.

Nouadhibou abrite aussi une très importante activité de pêche, attirant les populations du sud du pays.

La ville est également réputée pour être un pôle d’échange, voire de trafic, de météorites dans le Sahara.

Une route, inaugurée début 2005, relie dorénavant Nouadhibou à Nouakchott ; elle relie également la Mauritanie à la frontière sud du Sahara occidental administré par le Maroc. Ce nouveau moyen de communication fait qu’elle attire de plus en plus les populations du sud à la recherche de travail. Un centre de rétention pour les migrants en situation irrégulière a d’ailleurs été créé avec le financement de l’Espagne, dans le cadre de la politique d’externalisation de l’asile menée par l’Union européenne.